Denis Diderot
Denis Diderot sutiyuq runaqa ( 5 ñiqin kantaray killapi 1713 watapi paqarisqa Langres llaqtapi - 31 ñiqin kantaray killapi 1784 watapi wañusqa Paris llaqtapi) huk Ransiya mama llaqtayuq yachay wayllukuq wan qillqaq runam karqan.
Tayta: Didier Diderot (14 ñiqin tarpuy killapi 1685 watapi-3 ñiqin inti raymi killapi 1759 watapi); Mamanː Angélica Vigneron 12 ñiqin kantaray killapi 1677 watapi-1 ñiqin kantaray killapi 1748 watapi), .
Qillqasqankuna
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]Fictions
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]Romans
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]Willakuy
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Les Deux Amis de Bourbonne
- Madame de La Carlière
- Ceci n'est pas un conte
- Supplément au voyage de Bougainville
- L'Oiseau blanc : conte bleu
Aranwa
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Le Fils naturel ou les Épreuves de la vertu, suivie des Entretiens sur le Fils naturel
- Le Père de famille, accompagné d'un Discours sur la poésie dramatique
- Est-il bon ? Est-il méchant ? et ses deux textes préparatoires : Plan d'un divertissement domestique et La pièce et le prologue.
Dialugu
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Le Neveu de Rameau intitulée la Satire seconde sur le manuscrit, dialogue philosophique (réd. étalée de 1761 à 1782 ; éd. 1805).
- Le Rêve de D'Alembert (réd. 1769, éd. 1830)
- Entretien d'un père avec ses enfants ou Du danger de se mettre au-dessus des lois
- Entretien d'un philosophe avec la maréchale de *** (réd. 1773-1774, Corr. 1775, éd. 1777)
- Lui et moi
- Mystification ou L'histoire des portraits[1].
Payyuyay
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Pensées philosophiques
- De la suffisance de la religion naturelle
- La Promenade du sceptique
- Lettre sur les aveugles à l'usage de ceux qui voient et des Additions
- Lettre sur les sourds et muets
- Suite de l'Apologie de M. l'abbé de Prades
- Pensées sur l'interprétation de la nature
- Addition aux Pensées philosophiques
- Principes philosophiques sur la matière et le mouvement
- Regrets sur ma vieille robe de chambre
- Paradoxe sur le comédien (réd. 1773-1777).
- L'histoire et le secret de la peinture en cire (1755).
Critique et comptes rendus
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]Llimphy
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Neuf Salons rédigés entre 1759 et 1781.
- Les Essais sur la peinture sont une annexe au Salon de 1765 (Corr., 1766).
- Pensées détachées sur la peinture, la sculpture, l’architecture et la poésie (Corr., à partir de février 1772).
Yachay wayllukuy
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- La Réfutation d'Helvétius
- Lettre sur l’Examen de l’Essai sur les préjugés, ou Pages contre un tyran.
- Observations sur la « Lettre sur l’homme et ses rapports »
Aranwa
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]Auteurs
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Éloge de Richardson (éd. janvier 1762 dans le Journal étranger et en monographie, la même année).
- Sur Térence, (rééd. à la demande de Jean Baptiste Antoine Suard, publié le 15 juillet 1765 dans la Gazette littéraire de l'Europe, Plantilla:P.).
- Notes sur le style, à propos de la Ricerche intorno alla natura dello stile de Cesare Beccaria, rééd. 1771.
Simi kapchiy
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Sur les femmes, Corr., Plantilla:1er juillet 1772. Critique de l'Essai sur le caractère, les mœurs et l'esprit des femmes dans les différents siècles de Antoine Léonard Thomas, Paris, Moutard, 1772[2].
- La Satire première, à propos d'un vers d'Horace.
Articles de l'Encyclopédie
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]En plus du Prospectus et de la supervision générale des articles, Diderot a personnellement rédigé près de 3500 d'articles de l'Encyclopédie[3], parmi lesquels : anatomie, art, autorité politique, beau[4], capuchon, christianisme, citoyen, encyclopédie, éclectisme, mélancolie, philosophie…[5]
Pulitika
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Première lettre d'un citoyen zélé qui n'est ni chirurgien ni médecin à M. D. M. maître en chirurgie, ancien professeur à Saint-Côme, de l'Académie Royale des Sciences, & de l'Académie nationale de chirurgie où l'on propose un moyen d'appaiser les troubles qui divisent depuis si long-tems la Médecine & la Chirurgie, 1748 - À propos des différends corporatistes de l'époque entre médecins et chirurgiens. Diderot propose que chirurgiens et médecins se réunissent en un seul corps professionnel.
- Lettre sur le commerce des livres (réd. en 1763, éd. 1861) ou, initialement, Mémoire sur la liberté de la presse
- Apologie de l’abbé Galiani, suite aux Dialogues sur le commerce des blés (voir Contributions) (1770)
- Abdication d’un roi de la fève ou Les éleuthéromanes (réd. 1772, éd. 1796)
- Pensées détachées ou Fragments politiques échappés du porte-feuille d’un philosophe (Corr. 1772)
- Observations sur le Nakaz (1774)
- Principes de politiques des souverains (1774)
- Plan d’une université (réd. 1775).
- Essai sur la vie de Sénèque. En tête de ce texte se trouve la lettre Aux insurgents d’Amérique.
- Notes écrites à la marge de Tacite (autre titre : Critique du despotisme), réd. achevée fin août 1774, Corr. août-septembre 1775.
- Lettre apologétique de l'abbé Raynal à monsieur Grimm (réd. Plantilla:Date).
Hamut'ay
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Mémoires sur différents sujets de mathématiques, 1748
- Mémoire sur la cohésion des corps.
- Éléments de physiologie (réd. à partir de 1774, non achevé)
- Introduction à la chymie (sic), notes des cours suivis auprès de Guillaume-François Rouelle (réd. 1757, éd. 1887).
- Sur deux mémoires de D'Alembert
Récits de voyage
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]Contribusyunkuna
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Système de la nature de d'Holbach
- De l'éducation publique, Dominique-François Rivard
- Dialogues sur le commerce des blés, de l’abbé Galiani (1770)
- Catilina de François Tronchin. Diderot travaille sur ce texte en avril 1775 et en change la focalisation au point de devoir en transformer le titre en Terentia.
- Histoire philosophique et politique des deux Indes, de Raynal. Diderot travaillera avec Raynal dès la première édition de 1770 mais contribuera surtout à la troisième, de 1780.
- Histoire de Madame de Montbrillant de Louise d'Épinay (éd. en 1818).
- Leçons de clavecin, et principes d'harmonie d'Anton Bemetzrieder, Paris, Bluet, 1771. Dans la préface, Diderot explique que son rôle n'a consisté qu'à apporter des corrections au français tudesque de l'auteur mais qu'au-delà, il n'a contribué ni au fond ni à la forme de l'ouvrage. Son insistance est telle que le propos en devient douteux[6]. Ré-édité en fac simile aux éditions Phénix en 2001 Plantilla:ISBN.
- Jean-Philippe Rameau, Démonstration du principe de l'harmonie, Paris, Durand, Pissot, 1750.
Traducsyun
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]La date est celle de la traduction effective de Diderot, pas celle de l'œuvre originale :
- Histoire de la Grèce de Temple Stanyan, 1742-1743
- Essai sur le mérite et la vertu de Shaftesbury, traduction française et annotations de Diderot, 1745
- Dictionnaire universel de médecine de Robert James, 1746-1748.
- Apologie de Socrate de Platon, traduction entreprise en captivité à Vincennes, 1749
- Cyclopaedia or Universal Dictionnary of Arts and Sciences d'Ephraïm Chambers, 1750, qui inspira Diderot par la suite pour la rédaction de son Encyclopédie
- Le Joueur d'Edward Moore, 1760
- La Monadologie de Leibniz, dans l'article Leibnizianisme de l'Encyclopédie, 1765, tome 9, [[:Fichier:Diderot - Encyclopedie 1ere edition tome 9.djvu|Plantilla:P.]].
Correspondance privée
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Correspondance avec son amante, Sophie Volland
- Correspondance avec Falconet sur la postérité[7].
- Lettre apologétique de l'abbé Raynal à monsieur Grimm, rédigée le 25 mars 1781, mais jamais envoyée.
Lettres publiques
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]On peut considérer comme lettres publiques les textes présentés comme tels (Lettre à, Lettre sur, ...) et au moins destinés à la publication immédiate[8]. Cette liste reprend des textes signalés par ailleurs sur cette page, qui se justifie par l'intérêt à rassembler des revandications fortes et publiques de Diderot, par opposition aux textes qu'il choisit de ne pas publier.
- Lettre sur les aveugles à l'usage de ceux qui voient, 1749
- Lettre sur les sourds et muets, 1751
- première lettre au R. P. Berthier, février 1751 (en ligne)
- seconde lettre au R. P. Berthier, février 1751 (en ligne)
- Lettre à mon frère, 1760
- Lettre historique et politique adressée à un magistrat sur le commerce de la librairie, rédigée en 1763, mais seulement publiée telle qu'elle en 1861.
- Lettre sur l’Examen de l’Essai sur les préjugés, rédigée en 1770 mais seulement publiée en 1937
- Lettre à la comtesse de Forbach sur l’éducation des enfants (réd. vers 1772)
- Lettre à M. *** sur l'abbé Galiani
- Lettre à M. Galiani sur la sixième ode du troisième livre d'Horace
- Lettre d'un citoyen zélé
- Au public et aux magistrats (DPV, V, p. 68-78)
- Lettre à Landois
- Lettre à madame Riccoboni
Willay pukyukuna
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- ↑ Les critières retenus pour la distinction avec le genre théâtral sont l'intention de l'auteur, le découpage en actes ou la présence de didascalies.
- ↑ Disponible sur Gallica
- ↑ Compte effectué par Jacques Proust, Diderot et l'Encyclopédie, Albin Michel, 1995, Plantilla:P. et suiv.
- ↑ Cet article sera repris sous le titre Traité du beau dans l'édition Rey (1772) des Œuvres complètes de Diderot puis dans l'édition de Naigeon en 1798. C'est dans l'édition Assézat que l'on trouve pour la première fois le titre forgé : Recherches philosophiques sur l'origine et la nature du beau. Nous ne reprenons pas ce texte en tant qu’œuvre isolée dans la mesure où cela ne semble pas avoir été l'intention de Diderot.
- ↑ Voir Marie Leca-Tsiomis, Diderot : choix d'article de l'Encyclopédie, Paris CTHS, 2001.
- ↑ Jean Gribenski, À propos des Leçons de clavecin (1771): Diderot et Bemetzrieder. In : Société française de musicologie, Revue de musicologie, 1980, Plantilla:N°, Plantilla:P..
- ↑ Sur Diderot épistolier, voir [1] http://www.archive.org/stream/diderotpistoli00melauoft/diderotpistoli00melauoft_djvu.txt].
- ↑ Liste établie par Benoît Melançon (Diderot épistolier, Fides, 1992, p. 17). B. Melançon ajoute à cette liste la Lettre apologétique de l'abbé Raynal à monsieur Grimm qui ne fut ni envoyée par Diderot à son destinataire et qui ne sera publiée qu'en 1948 ; il ne semble donc pas qu'on puisse la considérer comme publique.
Kaypipas qhaway
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]Hawa t'inkikuna
[llamk'apuy | pukyuta llamk'apuy]- Commons nisqaqa multimidya kapuyninkunayuqmi kay hawa: Denis Diderot.